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recherche: ok menu principal aller au contenu toggle navigation accueil l’équipe unsa nos statuts pourquoi l’unsa coin pédagogique vos élus adhérez ! contacts bon à savoir premier bilan de la nouvelle mutuelle natixis un démarrage satisfaisant, même si certains sujets comme les élections de délégués restent opaques. l a première réunion de la commission de pilotage, suite au régime unique natixis mis en place au 1 er janvier 2018, a permis de balayer les sujets en cours, dont voici les principaux. les différences de cotisations seront mesurées par la drh en avril , un courrier sera envoyé aux salariés concernés (avec une explication du calcul). l’augmentation (sur la base du salaire au 31/12/2017) sera effective sur la paye de juin avec un effet rétroactif à janvier 2018. l’unsa a demandé un suivi de ces mesures de compensation. la télétransmission est opérationnelle pour la grande majorité des salariés. en cas de problèmes, c’est aux salariés de prendre contact avec la mutuelle. le numéro d’appel est payant. l’unsa a demandé la prise en charge par la direction de ces frais téléphoniques. tiers payant : le problème d’une rupture de service concernant la radiologie dans une clinique de caen a été évoqué. le dispositif est en voie de rétablissement. fonds d’action social : il a pour but d’accompagner les salariés en situation difficile. les salariés concernés peuvent monter leur dossier en s’appuyant sur l’aide des assistantes sociales de natixis ou présenter directement leur dossier via les conseillères action sociale d'aesio. toutes les demandes sont éligibles. l’unsa a demandé qu’une communication spécifique soit faite aux salariés. election de délégués adrea mutuelle : ces élections sont en cours jusqu’au 11 mai, et aucun salarié natixis n’a reçu d’information. l’unsa attend des explications pour se positionner et donner des consignes de vote. la prochaine commission est planifiée en septembre/octobre et y seront présentés les résultats du premier semestre. unsa projet d’ordonnances modifiant le code du travail en attendant une étude complète des 159 pages de ce projet complexe, l’appréciation d’ensemble de l’unsa est très nuancée. 31 aout 2017 – le gouvernement vient de rendre public ses cinq projets d’ordonnances modifiant le code du travail. l’unsa se réserve le temps nécessaire à une étude complète de ces 159 pages, brassant des sujets très divers, juridiquement et techniquement complexes. cependant, en première analyse, l’unsa constate que plusieurs propositions maximalistes, contre lesquelles elle s’était élevée, ont été écartées : basculement total de la production de la norme sociale vers l’entreprise et disparition, de fait, de la branche, hausse du seuil de déclenchement d’un pse, négociation du contrat de travail dans l’entreprise, négociation sans syndicat dans les entreprises jusqu’à 300 salariés, réduction à 6 mois du délai de recours en cas de rupture du contrat de travail… pour le reste, son appréciation d’ensemble est nuancée : concernant la clarification des rôles de la branche et de l’entreprise et de leur articulation dans l’élaboration de la norme sociale, demande constante de l’unsa, le projet d’ordonnances y participe. le rôle indispensable de la négociation de branche est affirmé, clôturant la polémique inutile qui voulait lui opposer la négociation d’entreprise. pour autant, l’unsa ne se reconnait pas totalement dans le détail de la répartition des compétences réservées à la branche par le projet d’ordonnance. concernant la législation du licenciement , la décision d’imposition aux prud’hommes d’un barème pour réparation du préjudice subi en cas de licenciement abusif reste contradictoire avec le principe d’appréciation du dommage au cas par cas par le juge auquel l’unsa est attachée. parallèlement, la hausse prévue de l’indemnité de licenciement est positive mais encore insuffisante. concernant les instances représentatives des personnels , le projet d’ordonnance leur substitue un modèle unique. au regard de la situation actuelle, il n’y aurait pas de perte de missions quant aux sujets qu’elle aurait en charge. c’était, pour l’unsa, une exigence fondamentale. mais l’imposition d’un modèle unique à toute entreprise est, pour l’unsa, un non-sens. pourquoi ne pas laisser aux acteurs de l’entreprise, qui, eux, connaissent parfaitement ses réalités, le soin de décider par la négociation des formes des instances représentatives les plus adaptées ? de surcroît, cette instance unique risque de diminuer la capacité des élus du personnel à exercer pleinement leur rôle de défense des intérêts des salariés, singulièrement dans les petites et moyennes entreprises où elle pourrait rimer avec une diminution de moyens, une réduction des possibilités de recours à l’expertise. plus grave encore, cette concentration contient en germe un double éloignement pour les représentants des salariés : démocratique, car il induira une professionnalisation de leurs fonctions au risque de les couper des réalités professionnelles de leurs mandants, et géographique car, dans beaucoup d’endroits, la proximité physique avec les salariés sera plus difficile à assurer. l’unsa n’était pas demandeuse d’une nouvelle réforme du code du travail , déjà modifié en profondeur par quatre lois dans les trois dernières années. dans la foulée des engagements de campagne du président de la république, le gouvernement s’y est cependant engagé, bien que ses effets sur l’emploi n’aient jamais été démontrés. il y voit un pari, mais pour l’unsa, en l’état actuel des projets d’ordonnances, il est encore à trop haut risque pour les salariés. l’unsa va désormais s’attacher à informer ses adhérents et les salariés du contenu précis de ces ordonnances révélé tardivement. a l’écoute de leurs réactions, elle continuera à agir pour que le gouvernement adapte ce qui n’est encore qu’un projet. en matière de compétitivité et d’efficacité économique, la justice sociale dans les relations de travail est une clé fondamentale. il n’y a pas d’issue pour un projet pour le pays, ses entreprises et ses salariés, qui serait trop déséquilibré en faveur d’une catégorie contre une autre. il s’agit là d’une réalité que tout gouvernement doit intégrer. chsct l’unsa a signé l’accord relatif à l’insertion et au maintien dans l’emploi des personnes en situation de handicap (2017-2019) de natixis intégrée pour la troisième fois, l’unsa est signataire d’un accord protecteur pour les salariés en situation de handicap mais nous devrons être vigilants sur sa bonne application par tous les acteurs concernés. les négociateurs unsa, pour faire évoluer cet accord, sont partis des dysfonctionnements de terrain remontés par les salariés concernés et des difficultés que les élus unsa ont rencontrés lors de la défense de ces salariés. nous avons obtenu un certain nombre d’avancées et notamment : · la prise en compte d’aménagements spécifiques concernant la charge, le rythme et l’organisation du travail dans les mesures de compensation possibles. · une implication du chsct dans l’adaptation du poste aux besoins spécifiques du salarié, dans le suivi de ces adaptations ainsi que dans leurs évolutions si elles étaient nécessaires. · la possibilité, si le salarié le souhaite, d’être accompagné lors de la réunion de compensation handicap. · le versement de l’allocation pour enfant à charge en situation du handicap même si ce handicap survenait après son 25 ème anniversaire. l’unsa pense que même si l’objectif de recrutement de nouveaux salariés en situation de handicap proposé par la direction reste modeste, les réelles difficultés de terrain semblent avoir été entendues. il faudra maintenant veiller à la bonne application de l’accord par tous les acteurs des entreprises du périmètre de natixis intégrée : correspondants handicap, rrh et drh, médecins du travail, chsct. continuez à nous remonter vos difficultés ! non classé mesures salariales unilatérales de la direction pour la seconde année consécutive, aucune organ